Quand elle découvre...... Dans son appraeil photo des images étranges .....
En lisant la carte mémoire des photos de cet été, Hier je suis tombée sur quelques images.....
"Jeux d'ombres et de Lumières. ....."
Elle ne manque pas d'imagination ma fille, ma dernière.... A 16 ans l'esprit est créatif......
Pour une fois je fais exception : Je vous laisse voir Morgane en photo.... Photos prisent par elle ......
Version N°1
Version N° 2
Même le panneau !!!!!! ...........
Photo prise pas Sonia
Vénus au ciel Emile Blémont
Une averse a lavé le ciel. Il se fait tard. Le creux de la vallée est couvert de brouillard ; Mais sur les coteaux clairs luit au loin la feuillée, Et le firmament mêle à la forêt mouillée Des palpitations de clarté. Amis, L'heure est propice : allons, par les bois endormis, Dans les champs, au-dessus de la prairie humide, Voir Vénus qui se lève à l'horizon limpide !
Réalisaion au fil de soie ..... Aux couleurs tendres ......
Un Vrai plaisir à réaliser...... Il a bien vite trouvé sa place à la maison ....
Quand elle change de chaussures, C'est pour celles qui sentent bon le bois.... Celles qu'on rempli de paille.... Celles de notre enfance....
Mosaïque faite avec des photos de Sonia et moi
Les Sabots d’Hélène
Georges Brassens
Les sabots d'Hélène Etaient tout crottés Les trois capitaines L'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène Etait comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine Toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène Va-t'en remplir ton seau
Moi j'ai pris la peine De les déchausser Les sabots d'Hélèn' Moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine Bien récompensée Dans les sabots de la pauvre Hélène Dans ses sabots crottés Moi j'ai trouvé les pieds d'une reine Et je les ai gardés
Son jupon de laine Etait tout mité Les trois capitaines L'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène Etait comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine Toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène Va-t'en remplir ton seau
Moi j'ai pris la peine De le retrousser Le jupon d'Hélèn' Moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine Bien récompensée Sous le jupon de la pauvre Hélène Sous son jupon mité Moi j'ai trouvé des jambes de reine Et je les ai gardés
Et le cœur d'Hélène N'savait pas chanter Les trois capitaines L'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène Etait comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine Toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène Va-t'en remplir ton seau
Moi j'ai pris la peine De m'y arrêter Dans le cœur d'Hélèn' Moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine Bien récompensée Et dans le cœur de la pauvre Hélène Qu'avait jamais chanté Moi j'ai trouvé l'amour d'une reine Et moi je l'ai gardé
Parce que c'était son anniversaire...... Voici les cadeaux réalisés pour elle.
"Cadeaux d'une amie, pour une amie"
En premier un tablier de brodeuse, Avec des poches.......
Un sachet senteur lavande, avec son initiale..... Dans le même tissus que le tablier, et une dentelle en plus....
Un pochon avec une poche devant, Encore une Initiale, et cette fois, deux boutons en forme de fleur....
Un étui à lunette, ou ustensils de broderie, ou de couture......
Une grande sacoche, Toujours dans le même esprit..... Pour y ranger ses oeuvres.
Un pique aiguilles en forme de livret. Toujours le même tissu, la même dentelle Et son initiale brodée avec ma machine à coudre ....
Une bouillotte aux noyeaux de cerises..... J'y ai rajouté de la lavande, pour ses effets relaxant.....
Et pour finir : Un petit sac de ville, avec son étui à mouchoirs... Pour balade légère....
A anniversaire exceptionnel, cadeau exceptionnel......
Les servantes faisaient le pain pour les dimanches, Avec le meilleur lait, avec le meilleur grain, Le front courbé, le coude en pointe hors des manches, La sueur les mouillant et coulant au pétrin.
Leurs mains, leurs doigts, leur corps entier fumait de hâte, Leur gorge remuait dans les corsages pleins. Leurs deux doigts monstrueux pataugeaient dans la pâte Et la moulaient en ronds comme la chair des seins.
Le bois brûlé se fendillait en braises rouges Et deux par deux, du bout d’une planche, les gouges Dans le ventre des fours engouffraient les pains mous.
Et les flammes, par les gueules s’ouvrant passage, Comme une meute énorme et chaude de chiens roux, Sautaient en rugissant leur mordre le visage.
Un tissus dans les tons roses..... Du ruban vieux rose.......
Pour une boite à mouchoir Qui va parfaitement avec ça
Quand elle vous parle des petits coins, elle pourrait vous dire ça
Les Pissotières
(Amélie et les Crayons)
Quand tu vas aux toilettes est-ce que tu peux lever la lunette ? Et si possible viser le trou histoire qu'il n'y en ai pas de partout La petite brosse à côté quel mystérieux objet
Tu ne dois pas savoir ce que c’est tu ne l'as peut-être jamais remarqué Tu as aussi le droit de tirer se qu'on appelle la chasse Parce que je t'assure qu'après toi y a toujours une fille qui passe Tu peux aussi te laver les mains si tu dois saluer quelqu'un, peut-être éteindre la lumière si tu sais faire Quand tu pars des toilette est-ce que tu peux baisser la lunette Y en a marre des acrobaties nous on voudrait juste s'asseoir bien sûr qu'on vous envie d'avoir juste a baisser votre braguette mais qu'est-ce que tu veux mon petit la nature est ainsi faite Quand tu vas aux toilettes est-ce que tu peux lever la lunette ? Ou bien ce que t'as qu'à faire c'est de choisir les pissotières Si par hasard y'en avaient pas il y a toujours un arbre quelques part qui attend dans la pluie dans le froid que tu marques ton territoire Et pendant ce temps là nous on restera des princesses De ces petits endroits ou on viendra poser nos fesses enfin on se laissera aller à rêver d'un monde meilleur où tout le monde sait où c'est la fête on baignera dans le bonheur Quand tu va aux toilettes tu vas me lever cette lunette Cette petite brosse à côté je vais t'apprendre ce que c'est et puis tu vas brosser brosser jusqu'a ce que se soit parfait et si tu le fait pas je te la fait bouffer est-ce que c'est clair ? houuuuu !
Mais pour aller avec cette mosaïque, elle vous dira cela....
(Mosaïque réalisée avec des photos de Sonia et moi)
Le Petit Endroit Alfred de Musset dédié à Georges Sand
Vous qui venez ici Dans une humble posture De vos flancs alourdis Décharger le fardeau Veuillez quand vous aurez Soulagé la nature Et déposé dans l’urne Un modeste cadeau Epancher dans l’amphore Un courant d’onde pure Et sur l’autel fumant, Placer pour chapiteau Le couvercle arrondis Dont l’auguste pointu Aux parfums indiscrets Doit servir de tombeau.
La moisson est finie et comble les greniers. Les champs sont nus, les bois sont roux, et les sorbiers Vibrent dans le brouillard comme des braises vives ; Vers le rouge corail de leur grappes, les grives, Poussant de faibles cris, arrivent pas essaims, Tandis que les moineaux, toujours prompts aux larcins, Reviennent marauder dans les cours où s'allie La pâleur de la paille à la mélancolie Que verse un blanc soleil dans l'azur pâle et doux, Et des deuils oubliés se réveillent en nous .....
Quand on partait de bon matin Quand on partait sur les chemins A bicyclette Nous étions quelques bons copains Y avait Fernand y avait Firmin Y avait Francis et Sébastien Et puis Paulette
On était tous amoureux d'elle On se sentait pousser des ailes A bicyclette Sur les petits chemins de terre On a souvent vécu l'enfer Pour ne pas mettre pied à terre Devant Paulette
Faut dire qu'elle y mettait du cœur C'était la fille du facteur A bicyclette Et depuis qu'elle avait huit ans Elle avait fait en le suivant Tous les chemins environnants A bicyclette
Quand on approchait la rivière On déposait dans les fougères Nos bicyclettes Puis on se roulait dans les champs Faisant naître un bouquet changeant De sauterelles, de papillons Et de rainettes
Quand le soleil à l'horizon Profilait sur tous les buissons Nos silhouettes On revenait fourbus contents Le cœur un peu vague pourtant De n'être pas seul un instant Avec Paulette
Prendre furtivement sa main Oublier un peu les copains La bicyclette On se disait c'est pour demain J'oserai, j'oserai demain Quand on ira sur les chemins A bicyclette
Une confection et réalisation à quatre mains .....
Cet été ma copine Véro et moi avons fait une petite vente.
Alors nous avons regroupé nos éfforts.
De temps en temps, je vous montrerais une de nos réalisations.
Nous avons travaillé toutes les deux sur chaques créations.
Coupe, transfert, dentelle, bouton, et tissus à carreaux...
Pour
Un petit sac à dos pour petit fille "Fleur Bleue"....
IL n'y a que la mère et les deux fils Tout est ensoleillé La table est ronde Derrière la chaise où s'assied la mère Il y a la fenêtre D'où l'on voit la mer Briller sous le soleil Les caps aux feuillages sombres des pins et des oliviers Et plus près les villas aux toits rouges Aux toits rouges où fument les cheminées Car c'est l'heure du repas Tout est ensoleillé Et sur la nappe glacée La bonne affairée Dépose un plat fumant Le repas n'est pas une action vile Et tous les hommes devraient avoir du pain La mère et les deux fils mangent et parlent Et des chants de gaîté accompagnent le repas Les bruits joyeux des fourchettes et des assiettes Et le son clair du cristal des verres Par la fenêtre ouverte viennent les chants des oiseaux Dans les citronniers Et de la cuisine arrive La chanson vive du beurre sur le feu Un rayon traverse un verre presque plein de vin mélangé d'eau Oh ! le beau rubis que font du vin rouge et du soleil Quand la faim est calmée Les fruits gais et parfumés Terminent le repas Tous se lèvent joyeux et adorent la vie Sans dégoût de ce qui est matériel Songeant que les repas sont beaux sont sacrés Qui font vivre les hommes
Terminé les ronds de Serviettes ......
Maintenant à la maison, Nous avons tous nos serviettes brodées à notre initiale.
Derrière deux grands boeufs ou deux lourds percherons, L'homme marche courbé dans le pré solitaire, Ses poignets musculeux rivés aux mancherons De la charrue ouvrant le ventre de la terre.
Au pied d'un coteau vert noyé dans les rayons, Les yeux toujours fixés sur la glèbe si chère, Grisé du lourd parfum qu'exhale la jachère, Avec calme et lenteur il trace ses sillons.
Et, rêveur, quelquefois il ébauche un sourire : Son oreille déjà croit entendre bruire Une mer d'épis d'or sous un soleil de feu ;
Il s'imagine voir le blé gonfler sa grange ; Il songe que ses pas sont comptés par un ange, Et que le laboureur collabore avec Dieu.
Petite trousse de toilette réalisée dans un tissu blanc et rose .... Galons et rubans assortis....
Un Petit Week-End ??? Pas besoin de grand chose Voilà de quoi transporter juste le nécessaire ....
Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement & allez d'un
trait jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager.